(Portelli/Portelli)

Allongé sur toi, dans le noir je devine,
Tes mains sur moi, mes contours tu dessines,
La lumière te fait peur, t’intimide.

Dans ta pudeur que tu caches sous tes cils,
Une lueur se dévoile je m’exile,
Ta peau contre ma peau, une énigme.

(Refrain)
Tes grains de beauté, mon grain de folie,
Un grain de délire, un grain de fantaisie,
Mon grain de sel sur ta peau qui s’immisce,
Pigmente nos nuits d’un grain de délice.

Même la raison ne pourra guérir,
Jusqu’au petit jour, avant de t’endormir,
Nos corps en sueur, tes soupirs.

Je te prends tes peurs, tes angoisses et le pire,
Mon âme-sœur, pour en faire des fous rires,
Je te bois, je te respire.

(Refrain)
Tes grains de beauté, mon grain de folie,
Un grain de délire, un grain de fantaisie,
Mon grain de sel sur ta peau qui s’immisce,
Pigmente nos nuits d’un grain de délice.

Dans ta pudeur que tu caches sous tes cils,
Une lueur se dévoile je m’exile,
Ta peau contre ma peau, une énigme.

Je te prends tes peurs, tes angoisses et le pire,
Mon âme-sœur, pour en faire des fous rires,
Je te bois, je te respire.

Mon grain de voix qui ne cesse de t’écrire,
Tous les mots que tu n’oses pas dire,
Nous, une énigme.