(Portelli / Portelli)
Je t’aime sans filtres, je t’aime sans sucre et sans émotions,
Je t’aime sans fringues, sans artifices, sans modération.
Je t’aime sans musique, je t’aime sans rêves et sans illusions,
Je t’aime sans fric, je t’aime sans haine et sans exceptions.
Sans délires quand tu es folle,
Sans sexe, sans drogue et sans alcool.
Je t’aime sous la douche,
Sans qu’elle te touche, ma bouche.
Ma bouche.
(Refrain)
Je t’aime sans souffle, comme je respire,
Et même si je te mens, je t’aime en attendant.
Je t’aime sans gêne, sans intérêts et sans façons,
Je t’aime sous peine d’être jugé obsession,
Sans nicotine et sans fumée,
A l’agonie, quand tu es malade à en crever,
Je t’aime sans fautes, avec tes copines sans conversation.
(Refrain)
Je t’aime sans souffle, comme je respire,
Et même si je te mens,
Je t’aime sans souffle, comme je respire,
Et même si je te mens, je t’aime apparemment.
Je t’aime sans déroutes, je t’aime sans bornes, sans demi-mesure,
Je t’aime sans doutes, je t’aime sans rhum et sans aventures.
Sous le soleil et sous la torture,
Saoul de la veille et sous ta censure,
Je t’aime sans détours, je t’aime sans retours, pour toujours.
Pour toujours, pour toujours…