(Portelli/Portelli)
Je les vois au loin, elles s’éloignent,
Inutile que je les rejoigne,
Cause perdue,
Je ne connaissais pas les limites
Elles comblaient un si grand vide,
Vos mains tendues.
Elles guérissaient mes vieux démons,
Et me dessinaient des horizons,
Elles tenaient au chaud mon cœur perdu
A en perdre la raison, et de l’amour à perte de vue.
(Refrain)
Je viens d’Espagne et d’Afrique du Nord,
De l’île de Malte et peut-être plus loin encore.
Mais c’est dans vos mains qu’elle était la plus forte,
Cette chaleur que je croyais morte,
Que je croyais morte.
Je m’y suis attaché à corps perdu,
Comme à un trésor longtemps disparu,
A vos mains tendues.
Mais ce n’était pas ma place, hélas,
J’ai fermé les yeux, j’ai fait l’impasse,
Une voie sans issue.
(Refrain)
Je viens d’Espagne et d’Afrique du nord,
De l’île de Malte et peut-être plus loin encore.
Mais c’est dans vos mains qu’elle était la plus forte,
Cette chaleur que je croyais morte,
Que je croyais morte.
Je les vois au loin elles s’éloignent,
Inutile que je me soigne,
Peines perdues.
Une rupture adoptive,
Qui me laisse un si grand vide,
Vos mains tendues.
(Refrain)
Je viens d’Espagne et d’Afrique du nord,
De l’île de Malte et peut-être plus loin encore.
Mais c’est dans vos mains qu’elle était la plus forte,
Cette chaleur que je croyais morte,
Que je croyais morte.
(Refrain)
Je viens d’Espagne et d’Afrique du nord,
De l’île de Malte et peut-être plus loin encore.
Mais c’est dans vos mains qu’elle était la plus forte,
Cette chaleur que je croyais morte,
Que je croyais morte.